Lors de notre webinaire sur la téléexpertise en infectiologie, le Dr François Bénézit, infectiologue au CHU de Rennes, est revenu sur son usage d’Omnidoc dans le cadre de son activité.
Durant son intervention, il a notamment présenté la ligne de RPC Endocardite mise en place au sein de son service et expliqué comment la fonctionnalité de RCP d’Omnidoc avait amélioré la simplicité et la traçabilité de ces réunions.
Retrouvez l'intégralité de ce témoignage en vidéo :
Pourquoi avoir décidé d’organiser la RCP Endocardite avec Omnidoc ?
DR BÉNÉZIT. En l’absence de centre de référence ou de secrétariat dédié, la RCP endocardite a été montée de manière spontanée par les soignants.
Mais c'était artisanal : à l’origine, il y avait un simple fichier Word envoyé à un mail commun par les requérants. Ce fichier, toujours plus ou moins bien rempli, servait de base de travail.
Ce n’était vraiment pas opérationnel et n’assurait aucune traçabilité dans le cas où un hôpital demandait un compte rendu par exemple.
Le module de RCP développé par Omnidoc répondait à ce besoin.
Comment fonctionne l’organisation des RCP avec Omnidoc ?
DR BÉNÉZIT. Le module de RCP d’Omnidoc nous a permis d’avoir une organisation simple. Cela facilite la prise de rendez-vous et donne accès à une fonction de visioconférence qui envoie automatiquement un lien de connexion au requérant une heure avant la réunion.
Omnidoc, via un système de quorum, permet également d’établir clairement et de manière écrite qui est présent lors de la réunion. Une fois que la liste est à jour, cela indique automatiquement qui était impliqué sur chacun des dossiers de la réunion du jour.
On trace ainsi facilement le chirurgien qui a participé à la décision, le cardiologue qui a revu l’échographie ou encore le microbiologiste qui a envoyé des hémocultures pour des tests bactériologiques compliqués. C’est une vraie force.
Quel impact a eu Omnidoc dans le cadre des RCP Endocardite ?
DR BÉNÉZIT. L’impact majeur est d’avoir apporté de la traçabilité écrite dans des décisions aussi lourdes que la chirurgie cardiaque, ce qui était une réelle demande des hôpitaux.
Auparavant, cela se passait par téléphone entre les différents intervenants – infectiologues, chirurgiens – mais l’équipe du CH ne savait jamais clairement qui était en charge du dossier. C’était donc très compliqué quand il fallait rediscuter d’un cas ou faire circuler des informations.
Cet extrait est tiré du webinaire sur l'infectiologie organisé par Omnidoc le 4 juillet 2024. Retrouvez le replay complet de ce webinaire en vidéo :
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